ROLLMOPS

THEATRE

ROLLMOPS THEATRE

d'après Herman Melville
La Virgule

Musique

La folie des Mauvais Élèves est de retour !
Après les triomphes des "Amoureux de Shakespeare", et des "Grands Rôles", nous sommes heureux d'accueillir leur toute nouvelle création...
Comme une immersion dans la comédie humaine ou une épopée citadine de branquignoles.
Nos héros du quotidien se rencontrent, leurs situations sont souvent délirantes, presque sur réalistes mais irrésistiblement comiques. Ils sont fous, humains, parfois sublimes, ils s’accrochent à leurs rêves, leurs petit monde.
Un tango endiablé, une fête de voisin accoudés à leur fenêtre, une statue psychanalyste, une réunion
de syndic survoltée, un cabaret sous la douche, une leçon d’horticulture, un rêve éveillé, une envie de faire pipi, un rideau occultant.

BARTLEBY

Tarif Plein 15 euros / Tarif Réduit 13 euros (étudiants, demandeurs d'emploi, moins de 18 ans, plus de 65 ans, PMR )

La presse en parle

"De la comédie aux larmes, la pièce est pleine de tendresse et de questionnements.
La mise en scène est particulièrement bien servie par un décor intelligent. (...)
Sur les murs de 68 s’affichait le slogan « Ne pas perdre sa vie à la gagner », Bartleby est plus que jamais d’actualité."

Christian Vincent, La Voix du Nord

"Le directeur artistique de La Virgule injecte du rythme et de l’humour. (...)
Le mystère Bartleby demeure mais résonne plus que jamais avec not
re époque."
Julien Damien, Let’s Motiv

"Du texte d’Herman Melville, Jean-Marc Chotteau tire une adaptation affûtée aux échos contemporains portée par une distribution enthousiasmante. (...)
Il faut signaler le soin rare apporté à un décor à l’astucieuse pertinence. (...)
Déplaçant l’action du Wall Street du XIXème siècle au Paris de mai 1968,
l’adaptation de Chotteau ne perd rien de la force des questionnements du roman."

Guillaume Branquart, Sortir

"Renaud Hézèques a parfaitement endossé le personnage de l’anti-héros évanescent. (...)
La musique de Timothée Couteau intervient comme dans un film, à la manière d’une bande son,
et souligne magnifiquement la « fraternelle mélancolie » qui plane sur cette énigmatique histoire."

Françoise Objois, Croix du Nord

"C’est une belle soirée de théâtre, du théâtre total qui fait rire, émeut, tient en haleine, donne à réfléchir. (...)
Le dosage entre récit et action, entre comique et tragique, est parfait. Éric Leblanc est d’une justesse d’interprétation admirable."

Colette Douces, Passeur du large

Durée : 1h15 Tous publics à partir de 8 ans

Mise en scène : Jean-Marc Chotteau
Assistanat à la mise en scène : Carole Le Sone
Texte français : Herman Melville
Scénographie Jean-Marc Chotteau
Construction : Alex Hermann
Lumière : Eric Blondeau
Création musicale : Timothée Couteau
Avec : Éric Leblanc, Arnaud Devincre, Jean-Marc Chotteau, Renaud Hézèques, Eddy Vanoverschelde

Vendredi 29 mars à 20h30

d'après Herman Melville
La Virgule

Mise en scène : Jean-Marc Chotteau
Assistanat à la mise en scène : Carole Le Sone
Texte français : Herman Melville
Scénographie Jean-Marc Chotteau
Construction : Alex Hermann
Lumière : Eric Blondeau
Création musicale : Timothée Couteau
Avec : Éric Leblanc, Arnaud Devincre, Jean-Marc Chotteau, Renaud Hézèques, Eddy Vanoverschelde

Tarif Plein 15 euros / Tarif Réduit 13 euros (étudiants, demandeurs d'emploi, moins de 18 ans, plus de 65 ans, PMR )

Durée : 1h25 Tous publics à partir de 8 ans

RESERVER

Vendredi 29 mars
à 20h30

BARTLEBY

Avant même que la vague de « démission silencieuse » ou « quiet quitting » n’en fasse résonner l’actualité du propos, Jean-Marc Chotteau avait l’envie de porter à la scène Bartleby, le fascinant et très court roman écrit en 1853 par Herman Melville, l’auteur de Moby Dick.
Cette nouvelle conte l’histoire d’un notaire de Wall Street aux affaires florissantes, qui s’adjoint les services d’un nouvel employé copiste : Bartleby. Ce dernier ne tarde pas à se distinguer, par son application zélée, du duo de collaborateurs besogneux - et éminemment comiques - déjà en place à son arrivée.  Mais un jour, à la demande faite par son patron de relire sa copie, Bartleby répond par cette phrase énigmatique : «  I would prefer not to ». Refusant dès lors les tâches que son employeur lui confie, et désamorçant toute tentative de reproche par ces polis et déconcertants « j’aimerais mieux pas », Bartleby bouleversera l’ordre établi de cette petite étude et les certitudes du notaire.
L’adaptation pour le théâtre proposée par Jean-Marc Chotteau, qui transpose l’action à Paris en mai 1968 dans un décor à cheval entre deux époques, laissera ouvertes les interprétations quant au comportement mystérieux de Bartleby. Cinq comédiens au top, une mise en scène millimétrée et une partition musicale originale de Timothée Couteau font de ce spectacle un moment de théâtre rare et précieux.

Avant même que la vague de « démission silencieuse » ou « quiet quitting » n’en fasse résonner l’actualité du propos, Jean-Marc Chotteau avait l’envie de porter à la scène Bartleby, le fascinant et très court roman écrit en 1853 par Herman Melville, l’auteur de Moby Dick.
Cette nouvelle conte l’histoire d’un notaire de Wall Street aux affaires florissantes, qui s’adjoint les services d’un nouvel employé copiste : Bartleby. Ce dernier ne tarde pas à se distinguer, par son application zélée, du duo de collaborateurs besogneux - et éminemment comiques - déjà en place à son arrivée.  Mais un jour, à la demande faite par son patron de relire sa copie, Bartleby répond par cette phrase énigmatique : «  I would prefer not to ». Refusant dès lors les tâches que son employeur lui confie, et désamorçant toute tentative de reproche par ces polis et déconcertants « j’aimerais mieux pas », Bartleby bouleversera l’ordre établi de cette petite étude et les certitudes du notaire.
L’adaptation pour le théâtre proposée par Jean-Marc Chotteau, qui transpose l’action à Paris en mai 1968 dans un décor à cheval entre deux époques, laissera ouvertes les interprétations quant au comportement mystérieux de Bartleby. Cinq comédiens au top, une mise en scène millimétrée et une partition musicale originale de Timothée Couteau font de ce spectacle un moment de théâtre rare et précieux.

La presse en parle

"De la comédie aux larmes, la pièce est pleine de tendresse et de questionnements.
La mise en scène est particulièrement bien servie par un décor intelligent. (...)
Sur les murs de 68 s’affichait le slogan « Ne pas perdre sa vie à la gagner », Bartleby est plus que jamais d’actualité."

Christian Vincent, La Voix du Nord

"Le directeur artistique de La Virgule injecte du rythme et de l’humour. (...)
Le mystère Bartleby demeure mais résonne plus que jamais avec notre époque."

Julien Damien, Let’s Motiv

"Du texte d’Herman Melville, Jean-Marc Chotteau tire une adaptation affûtée aux échos contemporains portée par une distribution enthousiasmante. (...)
Il faut signaler le soin rare apporté à un décor à l’astucieuse pertinence. (...)
Déplaçant l’action du Wall Street du XIXème siècle au Paris de mai 1968,
l’adaptation de Chotteau ne perd rien de la force des questionnements du roman."

Guillaume Branquart, Sortir

"Renaud Hézèques a parfaitement endossé le personnage de l’anti-héros évanescent. (...)
La musique de Timothée Couteau intervient comme dans un film, à la manière d’une bande son,
et souligne magnifiquement la « fraternelle mélancolie » qui plane sur cette énigmatique histoire."

Françoise Objois, Croix du Nord

"C’est une belle soirée de théâtre, du théâtre total qui fait rire, émeut, tient en haleine, donne à réfléchir. (...)
Le dosage entre récit et action, entre comique et tragique, est parfait. Éric Leblanc est d’une justesse d’interprétation admirable."

Colette Douces, Passeur du large

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