ROLLMOPS
THEATRE
ROLLMOPS
THEATRE
Le Rollmops Théâtre est une compagnie, mais aussi un lieu… Un lieu, une Compagnie, une Compagnie, un lieu…difficile de séparer l’un de l’autre tant l’un dépend de l’autre et vice versa ! Une aventure démarrée en 1996 à Boulogne sur mer…
Aujourd'hui, le Rollmops produits ses spectacles, les diffuse, construit chaque saison une programmation, met son expérience au service de l'organisation d'évènements, anime des ateliers en direction de tous les publics dans son lieu, mais aussi en milieu scolaire ou en entreprise.
Après l’expérience d’un théâtre de poche géré par une première compagnie, nous posons nos valises dans la friche d’un ancien garage Citroën laissé à l’abandon. Avec aucun subside, mais avec l’appui de la population et des entreprises locales, nous ouvrons les portes du Rollmops en mai 1995… Un Rollmops qui restera un chantier permanent pendant près de cinq ans, le temps de convaincre les collectivités locales qui vont peu à peu participer à son financement. Aujourd’hui le Rollmops est solidement installé dans le paysage culturel régional. Il accueille chaque saison trois créations en résidence, sert de lieu de travail permanent à bon nombre de compagnies amateurs, notre compagnie y crée, développe une école de théâtre comptant plus de 200 élèves, et effectue un large travail de sensibilisation dont l’influence s’étale sur l’ensemble de l’agglomération Boulonnaise.
"L'opéra de Quat'sous ", " Cabaret Vian ", le " Cabaret sans nom ", « le Cabaret de la Dernière Chance" "Johan Padan" et "Mystero Buffo" de Dario Fo, "le Cabaret des Pôv' Gars", "Vendeurs de Mots", " To be or not to be ", " Chez Rictus ", " Madame Marguerite ", " le Malade Imaginaire ", " Cyrano de Bergerac ", "L'Homme de Paille", "La Petite Fille du Sable", "Gargantua", "Roméo et Juliette"... Le Rollmops a forgé peu à peu son image et son style autour (principalement) du théâtre musical., puis du répertoire populaire. Ce choix s'est imposé au fil des expériences et surtout d'une envie : renouer viscéralement avec la partie " vivant " du terme " spectacle vivant".
Un théâtre qui se veut populaire sans être populiste, contemporain sans être hermétique, bref tout simplement sincère, sans se préoccuper des modes qui passent.
Pour les curieux
Pourquoi le nom Rollmops Théâtre ?
Pour plusieurs raisons mêlées : nous ne voulions pas un nom qui fasse « trop théâtre », ni le baptiser du nom de la rue, ce qui se fait fréquemment (théâtre John kennedy ou de Brequerecque). Le nom devait aussi être celui de la cie, et sonner un peu plus « rock’n roll » que simplement théâtre. Comme nous étions assez fan de Boris Vian et qu’un théâtre connu à l’opposé de Boulogne (Marseille) s’appelait théâtre du Merlan, nous avons choisi quelque chose qui était couleur locale, évoquait la mer, la pêche, l’identité de la ville, et qui faisait aussi référence à la chanson de Vian « Rock’n rollmops » interprétée par Salvador.
Le Rollmops Théâtre est une compagnie, mais aussi un lieu… Un lieu, une Compagnie, une Compagnie, un lieu…difficile de séparer l’un de l’autre tant l’un dépend de l’autre et vice versa ! Une aventure démarrée en 1996 à Boulogne sur mer…
Aujourd'hui, le Rollmops produits ses spectacles, les diffuse, construit chaque saison une programmation, met son expérience au service de l'organisation d'évènements, anime des ateliers en direction de tous les publics dans son lieu, mais aussi en milieu scolaire ou en entreprise.
Après l’expérience d’un théâtre de poche géré par une première compagnie, nous posons nos valises dans la friche d’un ancien garage Citroën laissé à l’abandon. Avec aucun subside, mais avec l’appui de la population et des entreprises locales, nous ouvrons les portes du Rollmops en mai 1995… Un Rollmops qui restera un chantier permanent pendant près de cinq ans, le temps de convaincre les collectivités locales qui vont peu à peu participer à son financement. Aujourd’hui le Rollmops est solidement installé dans le paysage culturel régional. Il accueille chaque saison trois créations en résidence, sert de lieu de travail permanent à bon nombre de compagnies amateurs, notre compagnie y crée, développe une école de théâtre comptant plus de 200 élèves, et effectue un large travail de sensibilisation dont l’influence s’étale sur l’ensemble de l’agglomération Boulonnaise.
"L'opéra de Quat'sous ", " Cabaret Vian ", le " Cabaret sans nom ", « le Cabaret de la Dernière Chance" "Johan Padan" et "Mystero Buffo" de Dario Fo, "le Cabaret des Pôv' Gars", "Vendeurs de Mots", " To be or not to be ", " Chez Rictus ", " Madame Marguerite ", " le Malade Imaginaire ", " Cyrano de Bergerac ", "L'Homme de Paille", "La Petite Fille du Sable", "Gargantua", "Roméo et Juliette"... Le Rollmops a forgé peu à peu son image et son style autour (principalement) du théâtre musical., puis du répertoire populaire. Ce choix s'est imposé au fil des expériences et surtout d'une envie : renouer viscéralement avec la partie " vivant " du terme " spectacle vivant".
Un théâtre qui se veut populaire sans être populiste, contemporain sans être hermétique, bref tout simplement sincère, sans se préoccuper des modes qui passent.
Pour les curieux
Pourquoi le nom Rollmops Théâtre ?
Pour plusieurs raisons mêlées : nous ne voulions pas un nom qui fasse « trop théâtre », ni le baptiser du nom de la rue, ce qui se fait fréquemment (théâtre John kennedy ou de Brequerecque). Le nom devait aussi être celui de la cie, et sonner un peu plus « rock’n roll » que simplement théâtre. Comme nous étions assez fan de Boris Vian et qu’un théâtre connu à l’opposé de Boulogne (Marseille) s’appelait théâtre du Merlan, nous avons choisi quelque chose qui était couleur locale, évoquait la mer, la pêche, l’identité de la ville, et qui faisait aussi référence à la chanson de Vian « Rock’n rollmops » interprétée par Salvador.